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Le Grand Cataclysme est la narration de l’histoire des Ancêtres des premiers Pêr-Ahâ (devenu Pharaon en phonétique grecque) hiéroglyphes qui signifient “Descendants-de-l’Aîné”. Ahâ pourrait se dire en phonétique française “Adam”, et de fait, les Annales chronologiques gravées sur les murs des premiers temples de Haute-Égypte, ou peintes sur les rouleaux de cuir des diverses salles des archives des “Maisons-de-Vie”, racontent la vie d’un peuple en partant de cet “Aîné” : l’Ahâ. Leur continent s’appelait Ahâ-Men-Ptah (devenu Atlantide par la grâce de Platon), et dont la traduction est “Dieu-y-coucha-son-Aîné”.
C’est toute l’histoire du monothéisme de ce continent d’Ahâ-Men-Ptah que détaille Le Grand Cataclysme, car en plusieurs millénaires, le peuple “Descendant-de-l’Ainé” perdit de vue son origine et se prit lui-même pour Dieu. Ce qui s’acheva par l’engloutissement du continent édénique à la suite d’un terrible bouleversement géologique, il y a 12 000 ans, et sur lequel les récits ne manquent pas. Les rescapés se chargèrent d’en instituer la crainte.
| Categories: | Albert Slosman, All Books, Histoire, Livres en Français |
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| Tags: | Albert Slosman, Égypte, histoire |
| Détails sur le produit | Broché: 310 pages |
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| Author |
Interpellé par les temps tumultueux que nous vivons, l’hermétiste Georges Vermard a été rechercher dans l’Oméga, la place oubliée de l’Alpha. Il nous fait ressurgir la richesse des valeurs ésotériques des temps passés :
Les révélations exposées dans cet ouvrage sont susceptibles de bouleverser le futur de notre civilisation. Elles ont le mérite de remettre en question beaucoup de pseudo vérités communément enseignées. Ces découvertes ont demandé des dizaines d’années de recherches dans des domaines tels que l’égyptologie, l’astronomie ou la science de la synchronicité.
Lorsque les survivants d’Ahâ-Men-Ptah, l’Atlantide platonicienne, débarquèrent, anéantis par l’engloutissement de leur première patrie, sur la côte du Maroc actuel, ils ne se doutaient pas que ce ne serait que quatre mille ans plus tard que leurs “cadets” arriveraient enfin dans le “Deuxième-Coeur-de-Dieu”, Ath-Kâ-Ptah (Ae-guy-ptos en grec, Égypte en français) qui leur était destiné. C’est l’histoire de cette implantation exemplaire réalisée génération après génération, siècle après siècle, et millénaire après millénaire, qu’Albert Slosman révèle dans ses moindre détails.
Après le “Grand Cataclysme” qui submergea Ahâ-Men-Ptah, la “Terre-Aînée-de-Dieu”, engloutissant avec elle des millions de créatures humaines, rien ne subsista plus, hormis un mythe légendaire, rapporté d’Égypte par Solon, puis repris par Platon dans le “Timée” sous le nom générique d’Atlantide. Mais nul historien ne s’est penché sur les survivants de cet Eden disparu, qui furent rejetés démunis de tout, à l’Est, sur les côtes d’un pays devenu depuis ce jour-là : “Ta Mana” : “La Terre du Couchant”, nom qui lui est resté encore aujourd’hui puisque c’est le nom arabe du Maroc : “Maghreb-el-Aksa”.
Es por lo demás evidente que no se encuentra ninguna prescripción en el Evangelio que pueda ser considerada de carácter verdaderamente legal en el sentido propio del término; la frase bien conocida: «Dad al César lo que es del César» nos parece particularmente significativa a este respecto, pues implica formalmente, para todo lo que es de orden exterior, la aceptación de una legislación completamente extraña a la tradición cristiana, y que es simplemente la que existía de hecho en el medio donde ésta tuvo su nacimiento, dado que por entonces estaba incorporada al Imperio romano.
Cent quatre-vingts millions d’albums de Tintin circulent à travers le monde. Ils sont publiés en plus de quarante-cinq langues. Que ce soit à New York ou à Tokyo, des milliards de téléspectateurs se régalent en assistant aux émissions des séries inspirées par les chefs d’œuvre Tintinesques. Ces records triomphaux, toujours croissants, ne se discutent même plus.
Molte persone interessate nella questione ebraica sono solite chiedere se ci sia o no qualcosa nel Talmud che non sia bello e sublime e completamente estraneo a qualsiasi espressione che possa sembrare odio verso i cristiani.
Isten kegyelméből Braunauban az Inn mellett születtem. Ez a városka éppen a két német állam határán fekszik, annak a két német államnak a találkozási pontján, amelyeknek egyesítése legalább is előttünk, fiatalok előtt feltétlenül megvalósítandó életcélként lebeg. Német-Ausztriának ismét egyesülnie kell a nagy német anyaországgal, éspedig nem holmi gazdasági ok miatt! Nem! Ennek az egyesülésnek még akkor is be kell következnie, ha az gazdaságilag közömbös vagy akár káros lenne, be kell következnie a vérségi kötelékeknél fogva. A német népnek addig nincs joga gyarmatpolitikai célokat követni, amíg nincs minden fia egy közös államban.
Bagatelles pour un massacre – 1937
L’école des cadavres – 1938
Les beaux draps – 1941
Pour comprendre aussi bien l’esprit traditionnel que la civilisation moderne, en tant que négation de cet esprit, il faut partir de cette base fondamentale qu’est l’enseignement relatif aux deux natures. II y a un ordre physique et il y a un ordre métaphysique. Il y a la nature mortelle et il y a la nature des immortels. Il y a la région supérieure de l’« être » et il y a la région inférieure du « devenir ». D’une manière plus générale, il y a un visible et un tangible, et, avant et au-delà de celui-ci, il y a un invisible et un intangible, qui constituent le supra monde, le principe et la véritable vie.
En efecto, el Santo Grial es la copa que contiene la preciosa Sangre de Cristo, y que la contiene inclusive dos veces, ya que sirvió primero para la Cena y después José de Arimatea recogió en él la sangre y el agua que manaban de la herida abierta por la lanza del centurión en el costado del Redentor. Esa copa sustituye, pues, en cierto modo, al Corazón de Cristo como receptáculo de su sangre, toma, por así decirlo, el lugar de aquél y se convierte en un como equivalente simbólico: ¿y no es más notable aún, en tales condiciones, que el vaso haya sido ya antiguamente un emblema del corazón?
He tomado como tema de esta exposición la metafísica oriental; quizás habría valido más decir simplemente la metafísica sin epíteto, ya que, en verdad, la metafísica pura, al estar por esencia fuera y más allá de todas las formas y de todas las contingencias, no es ni oriental ni occidental, es universal. Son sólo las formas exteriores de las que es revestida por las necesidades de una exposición, para expresar lo que es expresable de ella, son estas formas las que pueden ser ya sea orientales, ya sea occidentales; pero, bajo su diversidad, es un fondo idéntico el que se encuentra por todas partes y siempre, por todas partes al menos donde hay metafísica verdadera, y eso por la simple razón de que la verdad es una.
