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  • Sociétés secrètes et mouvements subversifs


    L’objet du présent ouvrage est donc de poursuivre l’enquête que j’ai commencée dans Révolution mondiale, en retraçant le cheminement des idées révolutionnaires à travers les sociétés secrètes depuis les temps les plus reculés, en n’indiquant le rôle des Juifs que là où il est clairement décelable, mais en ne cherchant pas à les impliquer là où il n’y a pas de preuves suffisantes. C’est pourquoi je ne baserai pas mes affirmations sur des ouvrages simplement “antisémites”, mais principalement sur les écrits des Juifs eux-mêmes.


     

    35,00 
  • La guerre sans nom


    Le pouvoir juif contre les nations

    Le présent ouvrage, accompagné de nombreuses preuves supplémentaires et d’un contexte historique plus complet, est le résultat des expériences personnelles d’un personnage public qui, dans l’exercice de ses fonctions, a découvert de première main l’existence d’une conspiration vieille de plusieurs siècles contre la Grande-Bretagne, l’Europe et l’ensemble de la chrétienté.


     

    23,00 
  • La culture de la critique


    Les Juifs et la critique radicale de la culture des Gentils

    Les mouvements dont cet ouvrage fait l’objet (anthropologie Boasienne, radicalisme politique, psychanalyse, École de Francfort et Intellectuels de New York) n’ont été embrassés que par peu de gens dont la communauté juive ne connaissait pas ou ne comprenait pas les points de vue. La thèse défendue ici consiste à affirmer que ces mouvements intellectuels ont été dominés par les Juifs, que la pensée de la plupart de ceux qui ont pris part à ces mouvements fut caractérisée par un fort sentiment identitaire juif et que ces mêmes personnes ont, de par leur engagement, agi dans l’intérêt de la communauté juive.


     

    35,00 
  • Histoire juive / Religion juive


    Le poids de trois millénaires

    La première difficulté inhérente à notre propos tient à ce que, depuis ces cent cinquante dernières années, le terme “juif” a pris dans l’usage courant deux sens très différents. Pour mieux comprendre cette nouveauté, reportons-nous par l’imagination en l’an 1780. À l’époque, la signification de ce terme pour tout le monde coïncidait avec ce que les juifs eux-mêmes considéraient comme le fondement constitutif de leur propre identité.


     

    25,00 
  • La République Universelle du genre humain


    Expliquer l’essence de la Révolution de 1789 avec ses conséquences spirituelles et politiques exige de cerner la tournure d’esprit des acteurs de cette époque en fonction de leurs référents philosophiques. Dans Archives du mondialisme, nous avons traité dans le chapitre III des tentatives des Juifs à acquérir la nationalité française. Après quatorze échecs, la quinzième fut la bonne avec la naturalisation de cette communauté à la nation française le 27 septembre 1791. La chose se fit avec l’appui de nombreux révolutionnaires (Mirabeau, l’abbé Sieyès, l’évêque Talleyrand, Clermont-Tonnerre, l’avocat Godard, l’abbé Grégoire, …) en liaison avec un petit groupe très actif de Juifs comme Cerf Beer. Cet événement, impossible dans le cadre d’une France née du baptême de Clovis sous l’égide de l’évêque Saint-Rémi, n’a pu se concrétiser qu’en raison d’une mutation des mentalités parmi les élites aristocratiques, bourgeoises et même royales car Louis XVI a posé les jalons rendant la chose faisable.


     

    28,00 
  • Les mythes fondateurs de la politique israélienne


    & Le procès du Sionisme israélien

    La lecture de ce livre ne doit créer aucune confusion, ni religieuse, ni politique. La critique de l’interprétation sioniste de la Thora, et des ‘‘livres historiques’’, (notamment ceux de Josué, de Samuel et des Rois) n’implique nullement une sous-estimation de la Bible et de ce qu’elle a révélé, elle aussi, sur l’épopée de l’humanisation et de la divinisation de l’homme. Le sacrifice d’Abraham est un modèle éternel du dépassement par l’homme de ses provisoires morales et de ses fragiles logiques au nom de valeurs inconditionnelles qui les relativisent. De même que l’Exode demeure le symbole de l’arrachement à toutes les servitudes, de l’appel irrésistible de Dieu à la liberté.


     

    27,00 37,00 
  • Le diable pour père


    Introduction à la question juive

    L’histoire humaine est composée substantiellement par deux courants de pensée auxquels tous les autres se ramènent comme des mutations accidentelles. La première est LA TRADITION CATHOLIQUE, révélée par Dieu à Adam, aux Patriarches et à Moïse, conservée et transmise par l’ancienne Synagogue mosaïque, (vraie Église de Dieu dans l’Ancien Testament) et appelée même CABALE VRAIE car non pervertie par les Rabbins et les Pharisiens. La seconde est LA CABALE FAUSSE et IMPURE ou GNOSE, qui prend son origine de la VRAIE et PURE CABALE (ou Tradition catholique), et qui a été pervertie ensuite par la méchanceté de l’homme tenté par LUCIFER ; le “Non serviam” et l’’”Eritis sicut dii” constituent en effet le cœur de la GNOSE ou FAUSSE CABALE.


     

    30,00 
  • Nouvelle histoire des Juifs


    À travers toute l’histoire de la civilisation, un problème spécifique est demeuré constant pour l’humanité. Dans toutes les grandes affaires de paix, de guerres ou de rumeurs de guerres, les grands empires ont dû faire face l’un après l’autre au même obstacle : le problème juif.


     

    25,00 35,00 
  • Les Juifs et le Talmud


    Morale et Principes sociaux des Juifs

    Aucun problème ethnique ou religieux ne s’est posé, à travers l’Histoire, d’une manière plus générale, plus continue et plus obsédante que le problème Juif. Aussi loin qu’on se reporte depuis que les Juifs sont campés au milieu des nations — et cette manière de vivre est bien antérieure pour eux à l’époque où les armées romaines leur infligèrent ce qu’on appela « la dispersion » — on trouve les Juifs en lutte avec tous les peuples qui les ont reçus dans leur sein.


     

    23,00 
  • Le passé, les temps présents et la question juive


    Quel est le peuple, quelle est la nation qui devrait être la première du monde par ses vertus, par son passé, par ses exploits, par ses croyances ? Quel est le peuple, quel est le seul peuple dont l’histoire nationale soit en même temps l’histoire religieuse, et celle-ci, celle de tous les peuples de la chrétienté avant la descente du Fils de Dieu parmi nous ! Ce peuple devrait être, n’est-ce pas, par définition déjà, l’exemple et l’instituteur de tous les peuples chrétiens ? Qu’en est-il ? comment se fait-il qu’il n’en soit point ainsi ? Que s’est-il passé pour ce qui devrait être ne soit pas ?


     

    30,00 
  • Histoire des Juifs en 5 volumes


    J’entreprends de raconter le passé d’un peuple qui date des temps les plus reculés et qui s’obstine à vivre encore ; qui, entré pour la première fois, il y a plus de trois mille ans, sur la scène de l’histoire, n’a encore nulle envie d’en sortir. Aussi ce peuple est-il tout à la fois vieux et jeune : l’âge a marqué ses traits d’une empreinte ineffaçable, et cependant ces mêmes traits ont une fraîcheur si juvénile qu’on dirait qu’il vient de naître. S’il y avait quelque part une pareille race qui se fût conservée, dans une longue suite de générations, jusqu’à l’heure présente: qui, sans s’inquiéter des autres races et sans être inquiétée par elles, sans services rendus, sans influence aucune sur le monde, se fût dégagée de la barbarie originelle, — si une telle race existait dans quelque coin du globe, elle serait assurément recherchée, étudiée, comme un rare et curieux phénomène. Et quoi de plus remarquable, en effet, qu’une relique des plus vieux âges, qui aurait assisté à la naissance et à la chute des plus anciens empires, et qui leur survivrait encore aujourd’hui.


     

    130,00 
  • Histoire des Juifs V


    La décadence – Le relèvement

    Par une rencontre heureuse de circonstances, les Juifs, persécutés dans presque toute l’Europe, trouvaient en Turquie un refuge sûr et une complète sécurité. Dans ce pays vivait alors un Juif qui, dans les contrées chrétiennes, aurait peut-être été brûlé et qui, sous la domination du Croissant, arriva à une haute position, fut élevé au rang de duc et eut de nombreux chrétiens sous ses ordres. Avec lui des milliers de Juifs acquirent une situation libre et indépendante, que leurs coreligionnaires des autres États européens leur enviaient. Ce Juif était Joseph Nassi ou Juan Miquès, Marrane transfuge du Portugal.


     

    30,00 
  • Histoire des Juifs IV


    La science et la poésie juive à leur apogée

    Le mouvement qui se développa à cette époque, parmi les Juifs, avec une intensité si remarquable, était dû surtout à deux savants, dont l’un vivait en Orient et l’autre en Occident : c’étaient Saadia, à Sora, et Hasdaï, en Espagne. Avec l’apparition de ces deux esprits éminents commence, dans l’histoire juive, une nouvelle époque, qu’on peut qualifier de scientifique. Ce fut pour le judaïsme comme un nouveau printemps, une époque de jeunesse et d’activité, pendant laquelle la poésie fit entendre ses accents gais et mélodieux.


     

    30,00 
  • Histoire des Juifs III


    La dispersion

    La malheureuse issue de la lutte que les Juifs avaient soutenue pendant quatre ans contre les Romains avec une si vaillante énergie, la chute de l’État, l’incendie du temple, la condamnation infligée aux prisonniers à travailler dans les mines de plomb en Égypte, à être vendus sur les marchés d’esclaves on à combattre comme gladiateurs dans les cirques, toutes ces catastrophes produisirent sur les Judéens survivants une telle impression d’effarement et de stupeur, qu’elles paralysèrent en eux tout esprit d’initiative et toute volonté.


     

    30,00 
  • Histoire des Juifs II


    Après l’Exil

    Ils ne revenaient pas avec une allure d’esclaves effarés qui viennent de voir tomber leurs chaînes, mais d’un cœur joyeux, enthousiaste, animé des plus nobles espérances. Un essaim de chanteurs marchait à leur tête, s’accompagnant d’instruments divers et entonnant des hymnes où revenait sans cesse ce refrain : Louez le Seigneur, car il est bon, car sa grâce est éternelle ! Les Judaïtes restés en Babylonie — et ils étaient nombreux, c’étaient les riches négociants et possesseurs de terres — témoignèrent de leur sympathie pour leurs frères en les reconduisant, en leur prodiguant les offrandes destinées à faciliter leur établissement.


     

    30,00 
  • Histoire des Juifs I


    Les temps bibliques avant l’exil

    Un jour, au printemps, quelques tribus de pâtres, franchissant le Jourdain, pénétrèrent dans un petit pays, simple littoral de la Méditerranée : le pays de Canaan, nommé depuis Palestine. L’entrée de ces tribus dans ce petit pays devait un jour faire époque pour le genre humain ; le sol sur lequel elles prenaient pied devint pour longtemps, par cela seul, un théâtre imposant, et, grâce aux durables conséquences de ce premier fait, reçut l’appellation de Terre sainte. Les peuples éloignés ne se doutaient guère de l’importance que devait un jour avoir pour eux cette immigration de tribus hébraïques ou israélites dans le pays de Canaan, et les peuplades mêmes qui l’occupaient alors étaient loin devoir ce que cet événement renfermait de fatal pour elles.


     

    30,00 
  • J’ai mal de la terre


    À l’heure où le mal s’est emparé subtilement de la dialectique et de la logique, de tous les instruments de la pensée au profit de toutes les inversions, l’impossibilité d’exprimer la vérité naît de ce qu’elle ne se manifeste plus dans le cœur de l’homme que par des émotions, des élans, des sursauts fulgurants, mais impuissants : il ne reste qu’une seule valeur digne d’être exprimée : la souffrance de l’âme et du cœur.


     

    25,00 
  • Le silence de Heidegger


    Le secret de la tragédie juive

    Un souci de vérité synthétique motive ce long exposé. Je vous le livre sans aucun espoir de réponse intelligente et exhaustive. En effet hormis Simone Weil, Bernard Lazare, Bergson et quelques autres congénères, je n’ai jamais rencontré de Juif intellectuellement honnête. Je ne vois que leurs mensonges et leur mauvaise foi exsuder de partout. J’aimerais ne pas être parmi les Juifs, une rarissime exception susceptible de probité et de synthèse. Poser la question du silence de Heidegger est déjà inconscient en soi et je vais m’en expliquer de la façon la plus claire possible.


     

    25,00 
  • Vérité et synthèse


    La fin des impostures

    Attaché à sa communauté le juif est inassimilable. Le génie du peuple juif est d’avoir présenté le problème juif sous son seul aspect religieux. Selon le juif, il y aurait des Français de confession juive, tout comme il y a des Français de religion catholique. De nombreux goyim (étrangers au peuple juif) sont tombés dans ce piège. Monseigneur Lustiger incarne l’exemple type du juif de religion catholique. Tout d’abord les sémites ne sont pas d’origine européenne, ils sont ethniquement proches de l’arabe, pas du gaulois.


     

    25,00 
  • Le Juif sectaire ou la tolérance talmudique


    Ce volume est l’esquisse, à grands traits, de la tolérance des juifs, à travers dix-neuf siècles, à l’égard des chrétiens, spécialement des chrétiens français qu’il est de mode aujourd’hui d’accuser tous les jours d’intolérance à l’égard des juifs.


     

    25,00 
  • Le Judaïsme & le Vatican


    L’irréductible antagonisme avec lequel le Judaïsme s’est toujours opposé au Christianisme depuis deux mille ans est la clef et le principal ressort de la subversion moderne une position qui, comme nous avons essayé de le montrer par des citations de docteurs et d’universitaires juifs respectés et érudits, bien loin d’être absurde comme il pourrait sembler à première vue, est très compréhensible lorsque l’on saisit qu’elle découle tout naturellement de l’esprit et de la pensée judaïques.


     

    25,00 
  • La Controverse de Sion


    Pour rédiger cet ouvrage commencé en 1951, Douglas Reed passa plus de trois ans – pour la plupart loin de sa femme et de ses jeunes enfants – à travailler à la Bibliothèque centrale de New York, ou à taper sur sa machine à écrire dans des logements spartiates à New York ou à Montréal. Avec un zèle de professionnel, le livre fut réécrit et l’épilogue seulement ajouté en 1956. Son but était de relater l’Histoire des deux derniers millénaires et plus encore de rendre intelligible une grande partie de l’Histoire moderne, qui de nos jours reste pour les masses plongée dans les ténèbres et étroitement gardée par la terreur d’un système de censure invisible.


     

    40,00 50,00