“La justice est la moitié de la religion.” Proverbe Turc
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Les chroniques de Svali – S’affranchir du contrôle mental
Témoignage d’une ex-illuminati
Pour comprendre la programmation de la secte des Illuminati, il faut d’abord comprendre un peu la structure et la philosophie de l’organisation. Les Illuminati sont un groupe de personnes qui suivent une philosophie connue sous le nom d’ illuminisme ou d’ Illumination . Les Illuminati ont été nommés il y a plusieurs centaines d’années, mais leurs racines et leur histoire remontent aux anciennes religions à mystères de l’Égypte, de l’ancienne Babylone et même de la Mésopotamie. De ces anciennes religions, pratiquées secrètement pendant des centaines et des centaines d’années, sont nés des groupes ésotériques qui ont continué à pratiquer les rites, les traditions et l’enculturation apportés par les groupes d’origine.
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Mémoires de Hempher, espion britannique au Moyen-Orient
Ce document révèle le véritable contexte du mouvement wahhabite qui a été imposé par Mohammad bin abdul Wahhab et explique les nombreux mensonges qu’il a répandu au nom de l’Islam et expose son antagonisme envers la religion de l’Islam et le prophète Mohammed et envers les musulmans en général.
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La malédiction de Canaan
Une démonologie de l’histoire
En effet, le grand mouvement de l’histoire moderne a été de dissimuler la présence du mal sur la terre, de l’atténuer, de convaincre l’humanité que le mal doit être “toléré”, “traité avec plus de compréhension”, mais qu’il ne doit en aucun cas être combattu par la force.
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Le mythe du sang & Synthèse de doctrine de la race
Éléments pour une éducation raciale
La théorie et le concept même de la race peuvent s’entendre de trois façons : par rapport à une réalité, à un certain ordre de connaissances scientifiques et, enfin, à un « mythe ». Dans sa première acception, la conscience de la valeur de la race se révèle dans un ensemble de normes que l’on peut retrouver dans les anciennes civilisations, surtout là où furent en vigueur le système des castes et la loi de l’endogamie, normes qui se sont maintenues en partie jusqu’à une époque relativement récente dans les traditions de l’aristocratie.
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Franc-maçonnerie et schizophrénie
Comprendre les arcanes du pouvoir
Le mot Schizophrénie provient du grec schizein (fendre) et phrên (esprit), il se traduit littéralement par esprit fendu, la fragmentation de l’esprit, la dualité. Plusieurs choses permettent de relier la Franc-maçonnerie à la schizophrénie et à la notion de dualité, à commencer par le symbole fort des loges le pavé mosaïque en carreaux noirs et blancs, sur lequel les initiés prêtent serment le choc des contraires, le multiple et l’Un, le bien et le mal interpénétrés et inséparables…
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La culture de la critique
Les Juifs et la critique radicale de la culture des Gentils
Les mouvements dont cet ouvrage fait l’objet (anthropologie Boasienne, radicalisme politique, psychanalyse, École de Francfort et Intellectuels de New York) n’ont été embrassés que par peu de gens dont la communauté juive ne connaissait pas ou ne comprenait pas les points de vue. La thèse défendue ici consiste à affirmer que ces mouvements intellectuels ont été dominés par les Juifs, que la pensée de la plupart de ceux qui ont pris part à ces mouvements fut caractérisée par un fort sentiment identitaire juif et que ces mêmes personnes ont, de par leur engagement, agi dans l’intérêt de la communauté juive.
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Histoire juive / Religion juive
Le poids de trois millénaires
La première difficulté inhérente à notre propos tient à ce que, depuis ces cent cinquante dernières années, le terme “juif” a pris dans l’usage courant deux sens très différents. Pour mieux comprendre cette nouveauté, reportons-nous par l’imagination en l’an 1780. À l’époque, la signification de ce terme pour tout le monde coïncidait avec ce que les juifs eux-mêmes considéraient comme le fondement constitutif de leur propre identité.
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Le Pape du Concile Vatican II
“Je suis le chef” dit, dans son langage débonnaire et désacralisant, Jean XXIII au Professeur Jules Isaac, “je suis le chef, mais je dois aussi consulter les autres, faire étudier par les bureaux les problèmes soulevés. Ici nous ne sommes pas dans une monarchie absolue” . Cette boutade de Roncalli (une parmi tant d’autres) n’est sans doute pas très conforme aux traités d’ecclésiologie. Elle a cependant l’avantage de nous montrer sur le vif les difficultés réelles que Jean XXIII devait affronter et surmonter pour mettre en oeuvre sa révolution. Le cas que lui soumettait le Professeur Isaac ce 13 juin 1960 était des plus scabreux: il s’agissait de renier l’Évangile pour donner raison aux juifs.
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La République Universelle du genre humain
Expliquer l’essence de la Révolution de 1789 avec ses conséquences spirituelles et politiques exige de cerner la tournure d’esprit des acteurs de cette époque en fonction de leurs référents philosophiques. Dans Archives du mondialisme, nous avons traité dans le chapitre III des tentatives des Juifs à acquérir la nationalité française. Après quatorze échecs, la quinzième fut la bonne avec la naturalisation de cette communauté à la nation française le 27 septembre 1791. La chose se fit avec l’appui de nombreux révolutionnaires (Mirabeau, l’abbé Sieyès, l’évêque Talleyrand, Clermont-Tonnerre, l’avocat Godard, l’abbé Grégoire, …) en liaison avec un petit groupe très actif de Juifs comme Cerf Beer. Cet événement, impossible dans le cadre d’une France née du baptême de Clovis sous l’égide de l’évêque Saint-Rémi, n’a pu se concrétiser qu’en raison d’une mutation des mentalités parmi les élites aristocratiques, bourgeoises et même royales car Louis XVI a posé les jalons rendant la chose faisable.
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Révolte contre le monde moderne
Pour comprendre aussi bien l’esprit traditionnel que la civilisation moderne, en tant que négation de cet esprit, il faut partir de cette base fondamentale qu’est l’enseignement relatif aux deux natures. II y a un ordre physique et il y a un ordre métaphysique. Il y a la nature mortelle et il y a la nature des immortels. Il y a la région supérieure de l’« être » et il y a la région inférieure du « devenir ». D’une manière plus générale, il y a un visible et un tangible, et, avant et au-delà de celui-ci, il y a un invisible et un intangible, qui constituent le supra monde, le principe et la véritable vie.
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Les mythes fondateurs de la politique israélienne
& Le procès du Sionisme israélien
La lecture de ce livre ne doit créer aucune confusion, ni religieuse, ni politique. La critique de l’interprétation sioniste de la Thora, et des ‘‘livres historiques’’, (notamment ceux de Josué, de Samuel et des Rois) n’implique nullement une sous-estimation de la Bible et de ce qu’elle a révélé, elle aussi, sur l’épopée de l’humanisation et de la divinisation de l’homme. Le sacrifice d’Abraham est un modèle éternel du dépassement par l’homme de ses provisoires morales et de ses fragiles logiques au nom de valeurs inconditionnelles qui les relativisent. De même que l’Exode demeure le symbole de l’arrachement à toutes les servitudes, de l’appel irrésistible de Dieu à la liberté.
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Le diable pour père
Introduction à la question juive
L’histoire humaine est composée substantiellement par deux courants de pensée auxquels tous les autres se ramènent comme des mutations accidentelles. La première est LA TRADITION CATHOLIQUE, révélée par Dieu à Adam, aux Patriarches et à Moïse, conservée et transmise par l’ancienne Synagogue mosaïque, (vraie Église de Dieu dans l’Ancien Testament) et appelée même CABALE VRAIE car non pervertie par les Rabbins et les Pharisiens. La seconde est LA CABALE FAUSSE et IMPURE ou GNOSE, qui prend son origine de la VRAIE et PURE CABALE (ou Tradition catholique), et qui a été pervertie ensuite par la méchanceté de l’homme tenté par LUCIFER ; le “Non serviam” et l’’”Eritis sicut dii” constituent en effet le cœur de la GNOSE ou FAUSSE CABALE.
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Nouvelle histoire des Juifs
À travers toute l’histoire de la civilisation, un problème spécifique est demeuré constant pour l’humanité. Dans toutes les grandes affaires de paix, de guerres ou de rumeurs de guerres, les grands empires ont dû faire face l’un après l’autre au même obstacle : le problème juif.
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Les Juifs et le Talmud
Morale et Principes sociaux des Juifs
Aucun problème ethnique ou religieux ne s’est posé, à travers l’Histoire, d’une manière plus générale, plus continue et plus obsédante que le problème Juif. Aussi loin qu’on se reporte depuis que les Juifs sont campés au milieu des nations — et cette manière de vivre est bien antérieure pour eux à l’époque où les armées romaines leur infligèrent ce qu’on appela « la dispersion » — on trouve les Juifs en lutte avec tous les peuples qui les ont reçus dans leur sein.
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Histoire des Juifs en 5 volumes
J’entreprends de raconter le passé d’un peuple qui date des temps les plus reculés et qui s’obstine à vivre encore ; qui, entré pour la première fois, il y a plus de trois mille ans, sur la scène de l’histoire, n’a encore nulle envie d’en sortir. Aussi ce peuple est-il tout à la fois vieux et jeune : l’âge a marqué ses traits d’une empreinte ineffaçable, et cependant ces mêmes traits ont une fraîcheur si juvénile qu’on dirait qu’il vient de naître. S’il y avait quelque part une pareille race qui se fût conservée, dans une longue suite de générations, jusqu’à l’heure présente: qui, sans s’inquiéter des autres races et sans être inquiétée par elles, sans services rendus, sans influence aucune sur le monde, se fût dégagée de la barbarie originelle, — si une telle race existait dans quelque coin du globe, elle serait assurément recherchée, étudiée, comme un rare et curieux phénomène. Et quoi de plus remarquable, en effet, qu’une relique des plus vieux âges, qui aurait assisté à la naissance et à la chute des plus anciens empires, et qui leur survivrait encore aujourd’hui.
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