“La pensée rationnelle, sans l’aide de la parcelle Divine constituant l’Âme impalpable, ne peut conduire qu’à une philosophie du Néant.” Albert Slosman
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La Trilogie des Origines
- Le grand cataclysme
- Les survivants de l’Atlantide
- Et Dieu ressuscita à Denderah
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La Trilogie des Origines III
Et Dieu ressuscita à Dendérah
Lorsque les survivants d’Ahâ-Men-Ptah, l’Atlantide platonicienne, débarquèrent, anéantis par l’engloutissement de leur première patrie, sur la côte du Maroc actuel, ils ne se doutaient pas que ce ne serait que quatre mille ans plus tard que leurs “cadets” arriveraient enfin dans le “Deuxième-Coeur-de-Dieu”, Ath-Kâ-Ptah (Ae-guy-ptos en grec, Égypte en français) qui leur était destiné. C’est l’histoire de cette implantation exemplaire réalisée génération après génération, siècle après siècle, et millénaire après millénaire, qu’Albert Slosman révèle dans ses moindre détails.
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La Trilogie des Origines II
Les survivants de l’Atlantide
Après le “Grand Cataclysme” qui submergea Ahâ-Men-Ptah, la “Terre-Aînée-de-Dieu”, engloutissant avec elle des millions de créatures humaines, rien ne subsista plus, hormis un mythe légendaire, rapporté d’Égypte par Solon, puis repris par Platon dans le “Timée” sous le nom générique d’Atlantide. Mais nul historien ne s’est penché sur les survivants de cet Eden disparu, qui furent rejetés démunis de tout, à l’Est, sur les côtes d’un pays devenu depuis ce jour-là : “Ta Mana” : “La Terre du Couchant”, nom qui lui est resté encore aujourd’hui puisque c’est le nom arabe du Maroc : “Maghreb-el-Aksa”.
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La Trilogie des Origines I
Le Grand Cataclysme
Le Grand Cataclysme est la narration de l’histoire des Ancêtres des premiers Pêr-Ahâ (devenu Pharaon en phonétique grecque) hiéroglyphes qui signifient “Descendants-de-l’Aîné”. Ahâ pourrait se dire en phonétique française “Adam”, et de fait, les Annales chronologiques gravées sur les murs des premiers temples de Haute-Égypte, ou peintes sur les rouleaux de cuir des diverses salles des archives des “Maisons-de-Vie”, racontent la vie d’un peuple en partant de cet “Aîné” : l’Ahâ. Leur continent s’appelait Ahâ-Men-Ptah (devenu Atlantide par la grâce de Platon), et dont la traduction est “Dieu-y-coucha-son-Aîné”.
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